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PUBLICATIONS

 

Articles ou textes de l'auteur publiés dans des revues spécialisées dont Alternatives Théâtrales, Théâtre public, Théâtres en Bretagnes, Script, La Revue russe...notamment sur les thèmes du théâtre russe (Anatoli Vassiliev, Stanislavski...), théâtre polonais contemporain (Jersy Grotowski, Krystian Lupa, Krzystof Warlikowski,  Krzystof Garbaczewski...), Art action et origines de la performance, Internationale Lettriste et Internationale situationniste, Allan Kaprow et les happenings, fluxus, GUtai...), Physical theatre, théâtre révolutionnaire dans les années 50-60, Actes poétiques et éphémères paniques de Jodorowsky, Le living theatre à l'époque de Julian Beck...

Je veux parler de la jeunesse qui tombe

Editions de l'Arche, collection scène ouverte, Paris, 80p, parution le 20 mai 2015.

 

"Cri de rage. Acte radical. Acte nu. Elan. Sève et intégrité. Pensée incarnée. Autant de manières de définir le recueil de textes de Stéphanie Lupo, qui explore ce qu'elle appelle "l'acte nu". Un cri de rage et de liberté. Source : www.arche-editeur.com

 

Stéphanie Lupo lira des passages de Je veux parler de la jeunesse qui tombe le 11 juin 2015 à la Librairie de L'Age d'homme."

 

 

Anatoli Vassiliev : Au coeur de la pédagogie théâtrale, Rigueur et anarchie,

Éditions L’Entretemps, Collection les voies de l'acteur, 277p, Vic-la-Gardiole, 2006

 

Cet ouvrage a reçu le Prix Georges Jamati (prix littéraire qui récompense chaque année un ouvrage traitant d’esthétique théâtrale).

 

"Pour avoir mené une recherche sur Anatoli Vassiliev pendant plusieurs années sous le double statut d’actrice et de chercheuse, Stéphanie Lupo apporte un témoignage unique et un éclaircissement « de l’intérieur », sur la pédagogie d’une des figures majeures du théâtre russe contemporain. Tantôt son élève, tantôt théoricienne, elle retrace l’évolution du style du metteur en scène et de ses spectacles à partir du travail de l’ombre qu’il entreprend dans son « laboratoire » depuis près de trente ans. De la méthode de l’étude héritée de Stanislavski et de la nouvelle vague russe, à la technique verbale utilisée pour la poésie dramatique de Pouchkine ou d’Heiner Muller, en passant par les théories des structures de jeu ludiques et psychologiques appliquées à Pirandello, Wilde et Platon, l’ouvrage révèle les paliers successifs d’une recherche monumentale alternant régulièrement entre théâtre des hommes et aspiration spirituelle. En se plongeant au cœur du processus créatif, confondu irrémédiablement avec la biographie de l’homme, l’ouvrage ne manque par ailleurs pas de dévoiler les exploits et les failles du fonctionnement de l’« ensemble » réuni au nom d’un idéal d’art « véritablement vivant ». Alliances et démantèlements, illuminations et ressacs auxquels l’auteur rend implicitement hommage." (Extrait de la quatrième de couverture)

 

N'avoir rien

Texte paru dans le numéro 31 de Scènes, revue éditée par la  Bellone à  Bruxelles

 

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